Bulgaristan, ça veut dire "Bulgarie" en Turc. Nous voilà de retour aux portes de l’Europe, sans trop savoir à quelle sauce nous allons être mangés. La Turquie semble maîtriser l’épidémie de Covid sur son territoire (1500 nouveaux cas/jour, constant depuis 2 mois), mais ceci ne convainc pas ses voisins : ils déclarent persona-non-grata les voyageurs qui en proviennent. Il y a probablement un peu de géopolitique dans tout ça…
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Un bon moyen de se rendre compte du mix culturel présent en Turquie est de regarder un de leur show TV (et vu le niveau intellectuel des programmes pas besoin d’être bilingue!). L’ensemble des “styles” que l’on peut rencontrer dans le pays sont représentés: de la stambouliote siliconée, à la femme voilée mais à la pointe de la mode en passant par celle qui ne laisse pas dépasser un seul petit cheveux, tout y est. Mais surtout derrière ces styles différents, il y a des modes de pensées et de vies associés. On avait donc envie, après l’ouest du pays finalement pas si dépaysant, d’aller découvrir une autre facette de la Turquie.
Le vent a tourné. La girouette ne pointe plus vers l’est, mais vers l’ouest. Oui, nous abandonnons l’objectif initial d’aller en Inde... Il nous a fallu un peu de temps pour prendre cette décision et l’accepter, tant cette “envie d’Asie” nous tenait.
Retour sur nos montures, retour à la vie nomade. Le printemps est bien avancé, les fleurs sont là (l’allergie au pollen aussi) et on est heureux de se remettre le nez au vent pour une semaine. Une semaine seulement car en raison de la crise du Covid-19, il y a encore des confinements les WE et les deux prochains sont des ponts. Eh oui, "masque" dans le titre de l'article ne veut pas dire "masque de plongée"...
Depuis un certain temps, nous nous posons des questions sur la viabilité du système dans lequel nous sommes et sur notre façon de vivre. Avant de partir en voyage, nous commencions doucement à modifier notre vie afin d’être plus en accord avec nos valeurs: diminuer nos besoins pour tendre à l’essentiel et limiter notre impact environnemental.
Retour dans l’union européenne, dans l’un de ses pays les plus septentrional.
Le voyage est fait d'imprévus. C'est ce que l'on recherche d'ailleurs. Mais à ce point là, on est servis. Cet article ne vient pas tout à fait à la suite du dernier, mais il paraît nécessaire de faire un point sur notre situation actuelle, vu les chamboulements qu'il y a eu ces dernières semaines.
Ah l’Albanie et ses paysages à couper le souffle… Non je déconne! Selon le guide, l’Albanie c’est surtout un drapeau cool et des bunkers indestructibles. Pour nous, son réel atout réside dans la gentillesse des Albanais.
Quand on pense à se faire héberger, on pense souvent aux monastère et aux églises, omniprésents dans le paysage européen et lieu d’accueil des âmes (et donc des corps qui vont avec?).
Ceci n’est pas une injonction à marcher plutôt que pédaler, mais le nom des trois dernières régions que nous avons traversé en Italie.
Nous avons voyagé sur toute l'Italie avec Tom et Laura, avec qui nous avions coordonné notre départ. Leur projet est original et généreux, et mérite d'être détaillé.
C'est parti, premiers coups de pédale, vélos chargés et nez au vent. Il est là enfin, ce moment que l'on rêve et que l'on redoute depuis quelques temps...
Peut-être que certains se souviennent, comme nous, d'intervention à l'école qui nous ont inspiré et nous ont permis d'apprendre autrement.
Nous avions envie de partager avec une classe les expériences, les rencontres et les aventures que nous allons faire. |
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Octobre 2020
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